O "post" oportuno de JM Ferreira de Almeida lembrou-me o Discurso Sobre a Primeira Década de Tito Lívio , de Maquiavel:
"...les citoyens ambitieux vivant dans une république cherchent d'abord des moyens de n'être attaqués ni par les particuliers ni même par les magistrats. Ils se font pour cela ses amis, qu'ils acquièrent par des voies apparemment honnêtes, par des aides financières ou en les défendant des puissants. Apparemment vertueux, se comportement trompe aisément tout le monde et l'on n'y apporte donc pas de remède. Continuant sans rencontrer de résistance, ces hommes deviennent tels que les particuliers les craignent et que les magistrats les respectent. Parvenues à cette position, si l'on ne s'est pas opposé à leur puissance, la situation est telle qu'il est très dangereux de les attaquer,..."
Palavras sábias de Maquiavel que ele próprio resume na frase que Salústio colocou na fala de César ( A conjura de Catilina): "Quod omnia mala exempla bonis initiis orta sunt" (Todos os maus exemplos nascem de bons começos).
Junte-se aos magistrados uns tantos jornalistas e outros tantos representantes de poderes fáticos, e reflicta-se um pouco sobre o que faz a ambição nos nossos dias.
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