O FC Porto é o clube que mais adeptos conquista por mérito, enquanto Sporting e Benfica garantem apoiantes pela área geográfica ou influência familiar é uma das interessantes conclusões de um estudo apresentado esta semana nas jornadas do Instituto Português de Administração e Marketing sobre o fenómeno desportivo. Mais se concluiu pela evidência do aumento do número de simpatizantes do emblema azul e branco, particularmente visível nas idades inferiores a 40 anos e tanto maior quanto mais se desce na idade.
Bons sinais no horizonte. E grande sabedoria no critério qualitativo da escolha. Nem tudo está perdido, pelo que podemos ter esperança!...
Bons sinais no horizonte. E grande sabedoria no critério qualitativo da escolha. Nem tudo está perdido, pelo que podemos ter esperança!...
6 comentários:
Por essas e por outras é que o ensino superior privado está tão mal cotado....particularmente o do Porto...
Mas a terra move-se, caro Tonibler...e não há argumento para negar o facto...
Sim, então quando é um estudo dos peritos da Universidade Rute Marlene, quem sou eu para duvidar...
Galileu, caro Tonibler!...E, na altura, também houve quem negasse!...
FC Porto - La Fureur du Dragon
Dans l’inconscient collectif, quand on pense Champions League, on pense Real Madrid ou Manchester United et par extension quand on pense foot et bénéfices, on pense Manchester United ou Real Madrid. Faux, archi faux même. Il existe un club en Europe qui, sur 10 ans, a vendu pour près de 250 millions d’€uros de joueurs et remporté pas loin de 14 titres. Ce club s’appelle le Futebol Clube do Porto.
Positionné en première place du groupe G, le club aux deux C1 ne cracherait pas sur la manne financière que constitue une présence régulière en Ligue des Champions en février.
D’ailleurs dès qu’on parle pognon, le club du dragon n’est jamais bien loin. Le FC Porto vient de boucler le dernier exercice national avec un troisième titre consécutif et a paradoxalement vendu ses deux meilleurs joueurs cet été, Quaresma à l’Inter et Boswinga à Chelsea pour 45 millions d’euros. Pour la faire courte, Porto vend systématiquement ses éléments les plus performants et continue de gagner.
2003/04, Mourinho et ses troupes réalisent un doublé continental exceptionnel, Coupe de l’UEFA suivie de la Coupe d’Europe des Clubs Champions. Dans la foulée, les Portugais se séparent de Deco, 21 millions direction le Barça, Ricardo Carvalho et Paulo Ferreira pour 50 aux Londoniens de Chelsea.
La saison suivante, Porto remporte la Coupe Intercontinentale et refait sa spéciale, le pack de footballeurs, pour les Russes du Dinamo de Moscou cette fois-ci, 30 millions pour Maniche, Costinha et Seitaridis. Le président Pinto da Costa et son bras droit Antero Henrique font les comptes, se marrent et annoncent le bilan : en deux ans, ils ont vendu 6 joueurs, remporté 5 titres majeurs et gagné un peu plus de 100 millions d’euros.
En 2005, c’est surtout Cheslea et le Dinamo de Moscou qui raquent, un an plus tard, c’est Manchester United et le Real Madrid qui passent à la caisse. Le Real achète le défenseur brésilien naturalisé portugais Pepe pour la modique somme de 30 millions d’euros (à noter que deux ans auparavant, le joueur aurait été payé 3 millions d’euros).
Vendeur incomparable, Pinto da Costa refourgue Anderson et ses tresses aux Red Devils pour la coquette somme de 31 millions. Facile. Le club n’accuse jamais le coup et pour cause, la méthode est bien huilée, efficace et historique.
C’est en 1998 que se met en place la technique. Le milieu de terrain Sergio Conceiçao est vendu 10 millions à la Lazio Rome et le club gagne son championnat et la Supercoupe du Portugal.
Saison 2001/2002, le toujours surcoté Jardel fait ses valises pour Galatasaray (16 millions d’euros), Porto remporte Coupe de l’UEFA, Coupe du Portugal et de nouveau la Supercoupe du Portugal.
Même punition les saisons qui suivent, Andrade à La Corogne pour 16 et Helder Postiga pour 10 à Tottenham, alors que les fins d’exercice se terminent de nouveau par des succès.
Seule ombre au tableau de maître, le Brésilien Diego. Acheté 8 millions à Santos alors qu’il facture à peine les 19 printemps, il ne s’impose pas et est vendu aux Allemands du Werder Brême pour 6 millions d’euros, ce qui fait de lui le transfert le moins rentable de ces dix dernières saisons pour le club portugais.
A la fin de l’exercice 2008/2009, Porto vendra sans doute à prix d’or ses Argentins, le « Comandante » et capitaine Lucho Gonzalez ainsi que le buteur Lisandro López, pour mieux continuer à gagner.
En temps de crise financière, le modèle économique à suivre joue en bleu et blanc et s’appelle le Futebol Clube do Porto.
No So Foot
Obrigado, caro Luís Melo, pelo esclarecedor artigo.
Para além de ser um grande na sua área de actuação, o futebol, o FCP é também um dos maiores exportadores nacionais, prestando assim inestimáveis serviços à economia portuguesa.
Enviar um comentário